Aller au contenu principal
info@equipeautonomiste.ca 

Les troubles trouples

Jusqu’à tout récemment, il était impossible, selon l’interprétation du Code civil du Québec, d’inscrire plus de deux parents sur le certificat de naissance d’un enfant. Or, le 25 avril 2025, la Cour supérieure du Québec a rendu un jugement invalidant 44 articles de notre Code civil où figurait cette précédente interprétation (1).

Équipe autonomiste, le seul parti à lutter contre la transphobie tout en protégeant les enfants

image Équipe Autonomiste entend par transphobie le fait d’être intimidé, menacé, humilié ou discriminé sur la base du choix de changer de sexe en tant qu'adulte. Équipe Autonomiste pense que la transphobie atteint l’autonomie de la personne et sa capacité à prendre les meilleures décisions pour elle-même.

Équipe autonomiste prône la protection des liens entre les pères et leurs enfants suite à une séparation

En général, il est reconnu que, lors des séparations, la majorité des gens s'entendent relativement bien sur le partage de «la garde» de leurs enfants. Par contre lors de désaccords, si la mère veut avoir une garde exclusive et que le père insiste pour maintenir des liens avec ses enfants, le système judicaire a encore tendance à favoriser la mère. Aussi, le parent, souvent le père, qui tient à la garde partagée, doit aller en cour et débourser de gros montants pour...

Dépôt d'un mémoire pour une égalité homme-femme réellement réciproque

Au début de 2016, le Secrétariat à la condition féminine a fait une consultation publique sur l'égalité homme-femme (http://www.scf.gouv.qc.ca/index.php?id=705).

Équipe autonomiste qui prône l'égalité homme-femme dans les deux sens a déposé un mémoire  intitulé " Pour une égalité homme-femme réellement réciproque ".  Le mémoire est disponible à ce lien : Memoire égalité réciproque 201601

Le droit des enfants de connaître leurs origines

En cette Journée Internationale des droits de l'enfant (1), Équipe autonomiste considère que tous les enfants devraient pouvoir connaître leurs origines et demande que les lois soient ajustées en ce sens. Récemment, le gouvernement du Québec a mis en place, dans les écoles, les cours d’éducation sexuelle pour les enfants du primaire et du secondaire. Les élèves apprendront les différents types de familles cependant aucune mention sur l’importance de l’origine des enfants. Les lois biologiques dictent que tout enfant provient d’un homme et d’une femme. Le clonage et les manipulations génétiques (parent mitochondrial) étant interdits au Québec, même avec toutes les sortes de pactes possibles pour la conception d’un enfant, celui-ci provient toujours d’un homme (père) et d’une femme (mère). La notion de parent désigne...

Équipe autonomiste dénonce l'abolition des mots «père» et «mère»

La commission scolaire de Montréal aurait remplacé la référence aux mots «père» et «mère» par une référence générique aux «parents», afin d’éviter un vocabulaire «discriminatoire» à l’endroit de parents homosexuels (réf. 1). Cela est bien prévenant mais aussi douteux selon Équipe autonomiste. Notre société a accepté que des couples homosexuels puissent adopter des enfants, c'est un fait. Par contre, l'abolition des mots «père» et «mère», pour leur plaire, est une atteinte à la bonne intelligence qui veut que l’on mette les vrais mots sur les vraies choses.

Pour l'amour de nos enfants, revoyons la fixation des pensions alimentaires

Récemment, Tommy Boisvert, un père de deux enfants, résidant à Sainte-Madeleine, près de Saint-Hyacinthe, a débuté une pétition pour demander au gouvernement du Québec de corriger les failles du système de fixation des pensions alimentaires pour enfants (réf. 1). Ces failles permettraient aux parents malhonnêtes d'abuser des mères et des pères qui veulent le bien-être de leurs enfants. Voici quelques exemples de failles tirés du site de la pétition (réf. 2): 1-La garde est considérée partagée lorsque le partage du temps de garde se situe dans l'intervalle de ...

Le Québec et ses enfants : une société hypocrite et sans coeur

Avant-hier, le 9 avril 2014 (réf.1), on a rapporté le cas d'un homme ruiné parce qu'il doit continuer à payer des pensions alimentaires, même s'il a perdu son emploi, et qu'il a dû verser 50 000 $ de frais d'avocats pour conserver la garde de ses enfants. En plus, suite à de fausses accusations, il a été arrêté par la police, devant ses enfants, dans la cour d'école. Il pense même au suicide, tellement il est découragé de sa lutte contre le système. Il est facile de conclure que cette mésaventure a des conséquences négatives sur...
S'abonner à Famille