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Plus à droite mais pas dans le champ !

Bolduc frappe encore !

Le ministre Bolduc promet sa subvention à la Fondation pour l'alphabétisation (1). Équipe autonomiste croit qu'il ne comprend pas le problème. Ce n'est pas une subvention à un organisme de sensibilisation qui va corriger le fait que notre système d'éducation produit des milliers d'analphabètes au Québec (2), c'est que les professeurs ne peuvent pas faire leur vrai travail. Par exemple, s'ils demandent des efforts aux élèves, CERTAINS parents se plaindront que leur pauvre "petit pou" n'aime pas ça et qu'il a trop d'activités parascolaires pour faire des devoirs.

L’instruction de nos enfants souffre

Depuis des années, des réformes et des changements d’idéologies ont reconstruit le système scolaire québécois. Est-ce pour le mieux? Équipe autonomiste en doute. Voici ce que le système en place pense : pour augmenter le nombre de diplômés et diminuer le taux de décrochage, nous réduisons les exigences et nous faisons passer plus de monde(1) (2). Ça prend maintenant un secondaire 5 pour travailler, donnons donc un secondaire 5 à tout le monde! C’est logique? Équipe autonomiste dit: «NON !». Les jeunes ont besoin d’apprendre et d’acquérir toutes les connaissances que peut leur apporter un diplôme du secondaire, avant d’aller plus avant. Si nous exigeons le secondaire 5, c’est qu’il y a une raison. Si nous faisons passer des jeunes même s’ils n’ont rien compris, nous ne ...

L'université doit cesser d'encourager les tricheurs

Ainsi, à l'université Laval (1), un étudiant qui triche risque d'avoir un simple avertissement de ne plus recommencer. Quelle logique tordue ? Si nous comprenons bien ce règlement, un étudiant a le droit de se faire prendre une fois à tricher pendant ses études. Le message est donc clair pour l'étudiant. Il triche tant qu'il peut, en essayant de ne pas se faire prendre. S'il se fait prendre, il a juste un avis de ne plus recommencer. Ainsi, en plus de se faire payer ses études par la société, l'étudiant lui ment sur la qualité de sa formation. Et tant pis pour les étudiants honnêtes qui...

L'instruction confiée aux professeurs, mais surtout pas aux municipalités

Avec la demande des municipalités de vouloir s'occuper de l'éducation (réf. 1), les limites de l'illogisme viennent d'être dépassées. Les conseils municipaux deviendraient le lieu de débats pour améliorer l'école. Les commissions scolaires et leur bureaucratie sont déjà trop loin des élèves et déconnectées des besoins des professeurs. Ce sera encore pire avec les conseillers municipaux qui ont déjà de la difficulté à bien gérer les villes.

Encouragements en éducation : Encore tout pour les filles et rien pour les garçons

Monsieur Gérald Fillion, Je me dois de réagir au nom du parti provincial Équipe autonomiste qui prône la véritable égalité entre les hommes et les femmes. En effet, votre reportage de vendredi «Les filles et les sciences, un duo électrisant» (1) donnait une image d'apitoiement vis-à-vis la gente féminine parce qu'elles sont moins nombreuses en technologie et en science. Vous vous êtes bien gardé de préciser que les femmes sont actuellement majoritaires dans les universités québécoises et canadiennes (2) où elles dominent principalement en lettres, en droit, en médecine, etc., et pourtant il n'y a pas, dans ces domaines, des activités qui encouragent les inscriptions masculines. Je comprends que madame Michèle Thibodeau-De Guire avait une promotion à faire, pour une activité de l'École polytechnique, mais notre parti trouve incorrect que ...

Améliorer la réussite scolaire des garçons en luttant contre le dénigrement des hommes

La vidéo « 2 hommes au primaire » démontre que le dénigrement des hommes, dont les garçons, est un enjeu de société réel et important et que le parti Équipe Autonomiste a raison d’en faire une des priorités de son programme. Cette vidéo dénonce le féminisme fanatique. Cela rappelle que : ...

Réduire les interventions de l'État pour améliorer l'éducation

Avez-vous lu l'essai de Diane Boudreau (1), Une éducation bien secondaire, chez Essai libre? Cette enseignante retraitée y dresse un portrait très juste de notre système d'éducation actuel et confirme Équipe autonomiste de vouloir faire une réforme en profondeur de notre système d'éducation, en réduisant au minimum l'implication de l'État, par son ministère interposé, et en remettant l'instruction entre les mains des enseignants, les vrais spécialistes du domaine.

Absence de l'égalité hommes-femmes dans le personnel enseignant au Québec

Le nouveau rapport statistique (1) sur le système québécois en 2010-2011, «Principales statistiques de l'éducation», vient de paraître et révèle que les trois quarts du personnel enseignant permanent sont des femmes (102 752 personnes enseignent au préscolaire, primaire et secondaire, dont 56 184 ont la permanence) et aucun organisme ne fera d'esclandre parce qu'il n'y a pas d'égalité entre hommes et femmes et pourtant, s'il en avait été inversement, les multiples organismes féministes subventionnés par l'État auraient monté aux barricades.

Séparer l'enseignement de l'endoctrinement

Une amie sur Facebook a écrit: «Mon grand avait des sujets de discussion bien intéressant ce soir! La peur que les Québécois parlent autre chose que le français, les signes religieux dans les lieux publics, etc.» Elle faisait allusion à certains professeurs qui se font la courroie de transmission des partis au pouvoir. «C'est de l'endoctrinement! Faut que les profs enseignent, ils n'ont pas à endoctriner les enfants! Ça devrait être une cause de congédiement!»

Mieux enseigner l'histoire, mais sans l'ingérence du gouvernement

Le Parti Québécois propose une Réforme des cours d'histoire du primaire au cégep en mettant l'accent sur l'histoire nationale du Québec (réf. 1). Équipe autonomiste approuve le principe de vouloir donner davantage de culture aux Québécois, mais considère que ce n'est pas au gouvernement de dicter le contenu des cours. La matière des cours d'histoire devrait être sous la responsabilité des historiens, les méthodes d'enseignement choisies par les enseignants, alors que le ministère se contenterait de s'assurer qu'une base est donnée sans plus.

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