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Plus à droite mais pas dans le champ !

La sous-traitance informatique : un autre gaspillage à éliminer

Pour en rajouter encore un peu plus dans le dossier du «bordel informatique» au gouvernement provincial (1), il y aurait 3 milliards de dollars juste pour des contrats à des firmes externes, en 2013, en informatique, et ce n'est que pour ce qui est possible de comptabiliser car bien des fois les contrats passent dans les achats de matériels de bureau et de meubles.

Gaspillage et incompétence du Parti Libéral du Québec

Le gouvernement offre 600 000 $ (1) pour faire de la recherche sur la violence conjugale faite aux femmes et toujours 0 $ pour la violence psychologique, verbale ou économique faite aux hommes. Ce que dénonce Équipe autonomiste qui vise l’équité entre hommes et femmes, dans les deux sens. De plus, le Parti libéral du Québec prétend ne pas savoir où couper pour équilibrer son budget et il est prêt à gaspiller pour de la recherche sur des choses déjà connues.

Le danger des poursuites-bâillons pour notre société

Dans notre système judiciaire, il y a, entre autres, deux sortes d’abus : les fausses accusations et les poursuites-bâillons. Une poursuite-bâillon et un SLAPP (Strategic Lawsuit Against Public Participation) sont des recours intentés contre une personne ou un groupe afin de limiter la liberté de parole ou pour cacher une vérité inavouable aux yeux du public. Plusieurs pensent que ce genre de poursuite est déposé par de grosses corporations ou une personne riche mais, dans certains cas, de simples citoyens, souvent appuyés par des groupes ayant des intérêts précis, peuvent abuser de notre système de justice. Prenons le cas du journaliste Mihai Claudiu Cristea[1] qui, en 2012, avait pris une photo d’une femme en niqab, et ce, dans un environnement public, pour écrire une chronique. Il fut poursuivi pour 150 000 $ par cette femme et son mari. Les poursuites-bâillons sont aussi caractérisées par ...

Subventions aux organismes communautaires : un cancer qui ronge notre système de santé

Un total de 463 millions de dollars a été distribué en subventions à 3 600 organismes communautaires en 2011 (réf. 1) par le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS). En 2003, il y avait 3 100 organismes de ce genre et 30 en 1973. La distribution de subventions paraît bien pour la solidarité sociale, l'aide aux démunis et aux gens qui ont des problèmes. Mais quelle proportion de cet argent se rend vraiment en aide concrète ? Et combien cela nous coûte-t-il pour distribuer cet argent qui vient de nos poches de contribuables ? Pour estimer la proportion réelle des subventions qui se rendent vraiment en aide, il faut déduire les coûts de fonctionnement de chaque organisme : leurs conseils d'administration ainsi que...

L'instruction confiée aux professeurs, mais surtout pas aux municipalités

Avec la demande des municipalités de vouloir s'occuper de l'éducation (réf. 1), les limites de l'illogisme viennent d'être dépassées. Les conseils municipaux deviendraient le lieu de débats pour améliorer l'école. Les commissions scolaires et leur bureaucratie sont déjà trop loin des élèves et déconnectées des besoins des professeurs. Ce sera encore pire avec les conseillers municipaux qui ont déjà de la difficulté à bien gérer les villes.

Non au PQ qui gaspille nos impôts dans le programme de maternage d'entreprises «Les gazelles»

La province est en déficit grave, mais le Parti québécois, qui ne sait pas où couper, trouve moyen d'inventer un programme d'accompagnement d'entreprises pour les aider à se développer. En effet, la ministre Élaine Zakaïb a lancé le programme des «gazelles» le 24 février 2014 (réf. 1). Des fonctionnaires sont donc payés, avec nos impôts et taxes, pour monter ce programme (protocole, formulaires, informatique, publicité, sélection, etc.) Ensuite d'autres fonctionnaires, toujours payés par nous, s'occuperont de materner ces entreprises plusieurs années durant. Si le gouvernement veut vraiment aider les entreprises, qu'il diminue ...

Fractionnement du revenu : Encore un privilège pour les fonctionnaires

Les membres d’un Régime de pension agréé (RPA) peuvent fractionner leurs rentes de retraite du RPA, avec leur conjoint, avant 65 ans alors que le rentier d’un FERR doit attendre 65 ans avant de fractionner. «Dans le cadre du choix conjoint visant le fractionnement du revenu de pension, le pensionné est le particulier qui reçoit un revenu de pension admissible et qui fait le choix d'attribuer une partie de ce revenu à son époux ou conjoint de fait (le cessionnaire).» (1). Le Centre québécois de formation en fiscalité (CQFF) a tiré à boulets rouges sur les fonctionnaires du ministère des Finances du Canada qui refusent toujours et encore de modifier la règle du...
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