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Plus à droite mais pas dans le champ !

Autonomie alimentaire oui, mais avec une agriculture productive et rentable !

Les partis politiques promettent d’améliorer l’autonomie alimentaire du Québec, et pour protéger l’environnement, ils veulent aussi réduire l’utilisation des fertilisants minéraux et favoriser l’agriculture biologique. Ces beaux objectifs sont en opposition. Pour atteindre l’autonomie, il faut de bons rendements et une agriculture rentable. Des rendements faibles obligent à cultiver de plus grandes surfaces de terres agricoles. Ils entraînent aussi un gaspillage de ressources, car un tracteur utilise la même quantité de carburant peu importe que la récolte soit bonne ou mauvaise. Pour optimiser l’utilisation des ressources et protéger l’environnement, il faut plutôt viser à émettre le moins possible de GES et de pollution par kilo d’aliments produits. Un autre point qui nuit à notre autonomie alimentaire est que le Québec doit acheter tous ses fertilisants azotés de pays étrangers puisqu’il n’en produit pas. Ces fertilisants sont essentiels pour produire des rendements optimums et des aliments de qualité. Il faut donc considérer la construction au Québec, d’une usine de production de fertilisants azotés pour sécuriser notre autonomie alimentaire.

Le PLQ ne doit pas détruire nos terres agricoles

Le Parti libéral du Québec (PLQ) veut transférer la gestion du zonage agricole aux municipalités régionales de comté (MRC) et la retirer de la Commission de protection du territoire agricole du Québec (CPTAQ) (réf. 1). La CPTAQ a été créée en 1978, par Jean Garon, pour empêcher les spéculateurs de construire sur les meilleures terres du Québec. L'Ordre des agronomes du Québec (OAQ) et son président, René Mongeau, s'inquiètent de cette possibilité car les MRC sont en conflits d'intérêts dans ce genre de dossier (réf. 2). Ceci parce qu'elles profitent des ...

Pas d'aéroport sur des terres agricoles

La ville de Mascouche désire déplacer son aéroport afin que l’endroit existant soit converti en quartier technologique/industriel (réf. 1). La municipalité affirme que c’est un lieu stratégique pour le développement économique de la ville afin de faciliter l’accessibilité de la main-d’œuvre. Cependant, le nouvel aéroport sera construit sur des terres agricoles. De plus, leur quartier fera compétition, dans le domaine aéronautique, avec Mirabel, là où déjà plusieurs terres agricoles sont perdues, et avec d’autres secteurs industriels (ouest/est de l’île de Montréal) qui possèdent déjà un potentiel de développement et une offre en bâtiments suffisants. Y a-t-il une logique à cela? Il est possible de faire plus avec ce que l’on a déjà. Équipe autonomiste appuie les résidants des terres agricoles pour leur engagement à leur métier (réf. 2 et 3), comme par le passé (réf. 4). La proportion de bonnes terres...

Est-ce que la violence faite aux enfants vaut moins chère que celle faite aux animaux?

Équipe autonomiste ne peut approuver une attitude comme celle de l'employé de Pont-Rouge envers des veaux (1) (2). Elle s'interroge sur l'agressivité gratuite de cette personne qui a visiblement des problèmes personnels à régler. C'est évident que cette personne n'est pas à sa place. Pourquoi tant de violence contre des victimes innocentes?

Préserver les bonnes terres agricoles pour le futur

En référence à l’article http://www.newswire.ca/fr/story/1174679/gaspillage-des-terres-agricoles-l-etalement-urbain-doit-cesser, Équipe autonomiste appuie l’Union des producteurs agricoles contre le projet de gare dans la municipalité de Mirabel.-La proportion de bonnes terres agricoles au Québec est faible, à peine 2 %. C’est un patrimoine qu’il faut préserver pour nos générations futures. Cela fait partie de notre valeur 2, L’équité entre les générations. -Le Québec doit être prévoyant et ne pas détruire...

Décourager l'effort, même dans la cueillette des fraises

Est-ce que le Québec cherche à diminuer la productivité et à décourager les gens de faire des efforts? À partir de 2014, les cueilleurs de fraises recevront le salaire minimum peu importe la quantité de fraises qu'ils auront récoltée (réf. 1). Imaginez la démotivation pour cette femme qui réussissait à faire 27 $ de l’heure, en étant productive; elle sera limitée à 10,15 $ de l’heure. Et imaginez la joie du «traîne-bottines» qui...

Proposition 61 : Obliger l’étiquetage de la provenance des viandes dans les commerces.

Obliger l’étiquetage de la provenance des viandes dans les commerces.

Le but est de donner la chance aux consommateurs de pouvoir choisir les viandes produites au Québec, selon des exigences particulières. Cette mesure vise à favoriser les agriculteurs d’ici, pour les aider à améliorer leur rentabilité et les rendre moins dépendants des subventions.

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