Encore un cas d’un homme faussement accusé d’agressions sexuelles par une femme à qui il a refusé les avances (réf. 1). Et comme dans l’affaire Ghomeshi, il existe des preuves des agissements et de la mauvaise foi de cette femme. L’accusé dans ce dossier n’a pas eu droit à la présomption d’innocence, qui est l'un des droits les plus importants de notre système de justice. Cet homme a été expulsé de l’Université Laval sur une simple plainte dès le début de l’enquête et sa réputation a été détruite par les médias (réf. 2). Il a dépensé ses économies pour se défendre et se retrouve maintenant sans argent pour poursuivre ses études. Dans notre culture de lutte à la PRÉTENDUE culture du viol, c’est encore un homme qui subit les conséquences des campagnes de promotions sexistes et misandres telle que « On vous croit ».
Cette femme devrait être accusée de méfaits publics par la justice comme c’est le cas avec l’homme de Québec passible de 5 ans prison pour avoir inventé une histoire d’objet métallique dans des bonbons d’Halloween qui a (réf. 3). De plus, elle devrait être condamnée à rembourser tous les frais judiciaires de sa victime et à le dédommager pour atteinte à sa réputation. Dans notre société supposément égalitaire, l’intimidation et les abus des fausses accusatrices doit cesser. Que les vraies agressions sexuelles soient punies sévèrement va de soit. Par contre, il est tout aussi important que les fausses accusations le soient également, peut importe le sexe de la personne coupable.
Louis Chandonnet, candidat dans Gouin
Stéphan Pouleur, chef d’Équipe Autonomiste
Références
1- Un étudiant de l'UL faussement accusé d'agression sexuelle. Le Soleil, 10 mai 2017
2- Un étudiant de l'Université Laval accusé d’agression sexuelle. Ici-Radio Canada, 10 février 2017
3- Objet métallique dans un bonbon à Saint-Sauveur: Un homme sera accusé d'avoir inventé une histoire. Valérie Bidégaré. Journal de Québec, 10 janvier 2017.