Le Conseil supérieur de la langue française est préoccupé par la régression du français comme langue unique de travail (voir http://www.radio-canada.ca/nouvelles/acces/suite.asp?lien=http://www.rad...). Équipe autonomiste aussi se questionne sur la régression du français.
Est-ce normal qu'un Québécois francophone, sur le territoire du Québec, puisse être contraint de parler une autre langue que le français dans tout espace public (dans le sens d'accessible, ouvert à tous, par opposition à privé dans le sens de réservé à des personnes spécifiques), autrement que si son travail l'y oblige à cause de contacts avec des personnes de nations étrangères? Après tout, il est chez lui dans une province dont la langue officielle est le français? Quand on sait qu'au moins 49% des Québécois sont considérés analphabètes fonctionnels et que 800 000 Québécois seraient analphabètes (voir http://www.lautjournal.info/default.aspx?page=3&NewsId=1754), ne faut-il pas les protéger et les aider?